Le taux de fécondité retrouvé

geobiologie-fecondation-truie-porc-philippe-le-pourhiet-anne-michele-le-hellaye - Illustration Le taux de fécondité retrouvé

Le passage d’un géobiologue a permis de retrouver de bons résultats et de la sérénité.

« En 2013, un an après la construction du bâtiment de 500 truies pour la partie naissage de l’exploitation, des problèmes de fertilité et de comportement de truies nerveuses sont apparus », explique Anne Michèle Le Hellaye associée à ses frères Gwenaël et Yvanick au sein de l’EARL des Roses à Neulliac (56). Les techniciens se voulaient rassurants en indiquant aux associés qu’il faut du temps pour que le microbisme s’installe et que les truies s’habituent à ce nouvel environnement. Durant cette période, les anecdotes ne manquent pas : « Une truie est sortie de la case de mise-bas et a fait ses petits juste à côté. Au moment du sevrage, lorsque l’on met les truies en verraterie, elles avaient tendance à se retourner puis sauter pour sortir des cases. Je n’avais jamais vu ça en 20 ans de métier », livre l’éleveuse.

Consulter un radiesthésiste lors du projet de bâtiment

Avec un taux de fertilité descendu à 80 % alors qu’il se situe plutôt à plus de 90 %, les associés de l’EARL étaient convaincus que quelque chose n’allait pas. « Sur les conseils d’un responsable de chez France Gènes, nous avons fait appel à Philippe Le Pourhiet, géobiologue-radiesthésiste pour un diagnostic de l’élevage », raconte Anne Michèle. « J’ai détecté des courants vagabonds provoqués par les 11 éoliennes situées entre 3 et 6 km de l’exploitation. » La création d’un champ énergétique autour du bâtiment a permis d’arrêter ces perturbations extérieures. Le comportement des animaux s’est alors amélioré mais pas totalement. « Un mois après, j’ai découvert un problème de masse sur une rangée de cases en verraterie. Nous avons refait le branchement de mise à la terre. Les choses sont rentrées dans l’ordre. » Suite aux 2 passages du radiesthésiste le taux de fécondité est revenu progressivement à la normale. « Avec le recul, on aurait dû consulter Philippe au moment de l’élaboration du projet de bâtiment pour décider de son orientation et de son implantation. » regrette l’éleveuse. Nicolas Goualan


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