Lourdement pénalisé par une explosion des leucocytes, Erwan Salaün a envisagé d’arrêter la production laitière. L’éleveur qui venait d’investir dans un robot de traite 3 ans auparavant a solutionné ses problèmes après le diagnostique du radiesthésiste.
« Suite à des problèmes récurrents de leucocytes et après avoir fait le tour de toutes les solutions envisageables, je me suis dit que le dernier recours était peut-être de faire appel à un géobiologue-radiesthésiste. Je n’y croyais pas trop, mais j’ai changé de point de vue. C’était la dernière solution et, avec le recul, ça aurait dû être la première », confie Erwan Salaün, producteur laitier à Minihy-Tréguier (22). Suite au départ à la retraite de ses parents, il y a trois ans, l’éleveur a fait le choix d’investir dans un robot de traite. Les gros problèmes ont démarré pendant l’hiver 2012 avec des leucocytes qui grimpent à 800 000. « L’été, je ne suis pas descendu en dessous des 400 000. » Pour Erwan l’aire paillée est sans doute à mettre en cause.
EARL de Kermartin
- 557 000 L de quota laitier (Prim Holstein)
- 40 ha de céréales
- 26 ha de maïs
- 16 ha d’herbe
- 5 ha de coco de Paimpol AOC
Le géobiologue avant les logettes
Les analyses se succèdent pour trouver des germes, tout d’abord le lait puis l’eau, et de nouveau le lait juste après la désinfection du robot. « Elles se sont toutes révélées négatives. » Le passage du technicien du GDS valide le constat de l’éleveur puisqu’il conseille de passer de l’aire paillée aux logettes. « J’ai donc acheté 80 logettes et des tapis pour un montant de 20 000 € auquel il faut ajouter 20 000 € de pose. » Entre-temps le technicien lait suggère à Erwan de faire intervenir un géobiologue-radiesthésiste avant d’installer ses logettes. « Je voulais que quelqu’un passe rapidement, j’ai donc ouvert mon Paysan Breton et trouvé les coordonnées de Philippe Le Pourhiet qui est venu rapidement sur l’exploitation. »
[caption id= »attachment_9012″ align= »aligncenter » width= »300″] La prise de terre du robot envoyait du courant dans le treillis métallique de la dalle ce qui perturbait les vaches.[/caption]
Créer un champ énergétique positif autour de la ferme
Philippe Le Pourhiet, géobiologue-radiesthésiste, explique : « Autodidacte dans ma méthode, j’intervenais auparavant directement sur les sources de pollution (transformateurs, antennes-relais…). Aujourd’hui, j’agis uniquement sur l’exploitation en créant un champ énergétique positif qui inverse toutes les ondes électro-magnétiques qui tentent d’entrer dans la ferme. Ensuite je m’occupe, avec la collaboration de l’éleveur, des problèmes internes : prises de terre, liaisons équipotentielles, ventilation… Je jongle entre l’électrique et la radiesthésie. » Lors de son intervention chez Erwan Salaün, Philippe a constaté des courants vagabonds ou parasites, provenant des transformateurs et de l’antenne-relais placée sur le château d’eau situé à 800 m de l’exploitation.
Après la création du champ magnétique pour éliminer ces perturbations extérieures, il faut trouver les éventuelles sources d’émission provenant de l’exploitation. « J’ai trouvé la présence de 2 prises de terre dans le bâtiment. Je me suis aperçu qu’il restait du courant au niveau du robot de traite. La prise de terre de ce dernier envoyait de l’électricité dans le treillis métallique du béton sous le robot. Nous avons donc envoyé la terre à l’extérieur du bâtiment. » Erwan raconte qu’avant le passage de Philippe Le Pourhiet les vaches se couchaient presque les unes sur les autres à l’opposé du robot. « Elles venaient se faire traire au robot, mais j’avais toujours une quinzaine de vaches en retard, ce qui prouve qu’elles y allaient à reculons. »
Un résultat visible 3 semaines après l’intervention
L’éleveur confie que 3 semaines après le passage du géobiologue, les leuco sont passées de 400 000 à 340 000. « Ça diminue d’analyse en analyse, la dernière était à 205 000. Je suis dans la norme, je n’ai plus de pénalités. » Aujourd’hui il est soulagé, lui qui s’était installé par passion pour la production laitière a failli tout arrêter. « Je m’étais donné comme date butoir fin 2014 avant d’arrêter le lait. Les pertes étaient trop importantes, de l’ordre de 1 000 € de pénalités par mois. Sur 60 vaches en production, il n’en restait plus que 40 qui allaient au tank. J’ai réformé 15 vaches et j’ai été obligé d’en racheter d’autres. Et je ne parle même pas de l’explosion de mes frais vétos. » Aujourd’hui, Erwan observe que ses vaches sont bien réparties dans l’aire paillée. « Comme mes logettes n’ont pas été installées, je les ai dans un premier temps mises en vente. Mais finalement je vais les garder afin d’économiser sur la paille et gagner en confort. » Nicolas Goualan
Contact : Philippe Le Pourhiet, Géobiologue-radiesthésiste, 06.83.55.49.78