Après les transformateurs, les GMS, la mise sous surveillance se poursuit avec la Restauration Hors Domicile qui se fait des plus discrète lors des tables rondes d’élevage. Le rapport du médiateur démontre son inaction : pas de revalorisation de prix et toujours peu ou pas d’origine française. « Restauration commerciales, restauration collective, sociétés privées qui fournissent la restauration : toutes doivent prendre des engagements pour soutenir le « Produire et manger français », selon la FDSEA, qui visitait des enseignes du département mercredi dernier.
Ici, devant Métro et Promocash, à Lanester, où ils ont trouvé des produits polonais, allemands, irlandais et surtout de la volaille belge avec un logo « élevée en France », appellation douteuse selon les éleveurs. La Restauration Hors Domicile sert 6,2 milliards de repas par an. Les agriculteurs souhaitent faire en sorte que ces assiettes soient garnies des produits de leurs fermes.