Un revêtement robuste pour des espaces lumineux

Florent et Jean-Yves Plouzennec ont construit un nouveau bâtiment pour leurs vaches laitières à Plomelin (29), en avril 2015. Pour habiller les murs de leur nouvelle salle de traite et de leur laiterie, ils ont choisi un revêtement clair, robuste et facile à entretenir.

« Le revêtement mural Anjou Composites rend possible la création d’espaces lumineux, propres et sains, idéals pour les bâtiments neufs », déclare Jacques Cosmao, technicien Cultivert qui a proposé cette solution aux éleveurs. Florent Plouzennec s’est installé avec son père en janvier 2015 à Plomelin (29). Ils ont fait appel à Cultivert pour réaliser l’habillage des murs de leur nouvel outil de travail. Avec 70 vaches laitières et 612 000 litres de lait à produire, ils souhaitent diminuer le temps de travail et utiliser des matériaux durables.

Dans cette optique, leur technicien les a orientés en avril 2015 vers un revêtement en polyester doté d’une excellente robustesse. « La plupart des produits que l’on trouve sur le marché sont en PVC et ne supportent pas bien les variations de température ou les chocs en salle de traite », explique Jacques Cosmao. « Nous cherchions un produit durable. Nous sommes très satisfaits du résultat car il ne bouge pas », poursuit l’éleveur. En effet, la proximité des animaux, leurs déjections et les nettoyeurs haute pression fragilisent les murs.

Lavage facile

« Le revêtement mural Anjou Composites possède une surface lisse qui empêche le développement des germes et rend le nettoyage rapide et efficace, sans risque de détérioration », ajoute Jacques Cosmao. Conçu pour de nombreux usages, ce revêtement mural convient parfaitement pour les salles de traite, les laiteries ainsi que les nurseries. L’éleveur a le choix entre la couleur grise ou le blanc, qui apporte beaucoup de lumière et du confort de travail.

L’utilisateur pose lui-même les panneaux qu’il fixe avec des chevilles à frapper en inox. Livrés en rouleaux de 30 par 2,40 mètres, ils font 2 millimètres d’épaisseur. « Nous avons été agréablement surpris par la facilité de pose. En revanche, il faut être deux : un pour tenir les panneaux et l’autre pour fixer les chevilles. Ici, nous avons fait le choix de poser les panneaux en chevauches et d’utiliser des cornières en aluminium pour optimiser la robustesse et l’étanchéité », conclut l’éleveur.

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