Compacte et maniable, la chargeuse articulée de Sébastien Chérel est un outil incontournable sur l’exploitation. Non seulement pour le travail quotidien mais aussi pour les chantiers de curage, de stockage de la paille et du foin et même à l’heure de l’ensilage. [caption id= »attachment_19461″ align= »alignright » width= »165″] Sébastien Chérel, éleveur[/caption] À l’EARL Miyabi, à Brielles (35), l’ancien outil de manutention a été remplacé en mars dernier. La chargeuse de 6 ans a laissé place à un modèle un peu plus puissant (60 CV contre 50 auparavant). « Cette fois, j’ai opté pour un engin articulé et surtout télescopique », précise Sébastien Chérel, le propriétaire des lieux. « La flèche permet de monter jusqu’à 4,6 m de haut, précieux pour organiser le stockage des bottes de paille en bâtiment. » En mode non articulé, cette nouvelle machine est notamment capable de déplacer une charge de 3 200 kg quand le bras de levage est à l’horizontal. « Un plaisir à piloter » L’éleveur de vaches allaitantes est aujourd’hui un convaincu des chariots télescopiques. À l’heure de sortir le fumier des étables en aire paillée, il se rappelle notamment qu’opérer « dans les bâtiments exigus » avec un tracteur équipé d’un chargeur était une « véritable mission ». Il insiste. « Pour le curage, c’est le jour et la nuit. Ce nouveau chargeur articulé cumule les avantages : une très bonne manœuvrabilité qui permet de tourner autour des poteaux, de la visibilité, une simplicité de prise en main… » Et puis, cerise sur le gâteau, « c’est un vrai plaisir à piloter ». À l’arrivée, à la faveur de la maniabilité, le débit de chantier est très sensiblement amélioré : « Au tracteur – chargeur, vider les cases me prenait une journée. Aujourd’hui, 2 heures suffisent… » [caption id= »attachment_19460″ align= »aligncenter » width= »600″] Habituellement attelé derrière…
La maniabilité du chargeur télescopique articulé