Les cultures sous abri jouissent de conditions que leurs cousines de plein champ ne connaissent pas. Température, irrigation, fertilisation… La gestion est plus précise, mais aussi peut-être plus technique quand les végétaux poussent sous serre. Culture sous abri ne signifie pas pour autant à l’abri. Les maladies et les insectes ravageurs profitent également de ces conditions favorables à leur expansion ou à leur épanouissement. C’est alors que les producteurs utilisent l’arme biologique, car qui mieux que la nature pour rééquilibrer un système écologique, même intensif.
Vous trouverez dans ce dossier des témoignages de producteurs passionnés par la production de tomate, qui ont fait le choix de limiter les applications de produits phytosanitaires, ou encore d’une productrice de fraises biologiques qui sait être patiente pour laisser cette nature réguler les attaques de ravageurs. Enfin, l’élevage de plants de choux par un légumier finistérien montre que maîtriser techniquement ses cultures sous serre offre un réel signe positif sur les résultats technico-économiques des exploitations.
Dans ce dossier : [su_list]
- Irrigation : une pompe doseuse précise et autonome
- Limiter l’impact sur l’environnement en tomates sous serre
- Un parallèle entre production porcine et culture de tomates [su_tooltip style= »light » position= »north » title= »Réservé aux abonnés numériques » content= »Certains articles de ce dossier sont réservés aux abonnés. C’est le cas de celui-ci. »]
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[/su_tooltip] - Le bio attire les insectes auxiliaires [su_tooltip style= »light » position= »north » title= »Réservé aux abonnés numériques » content= »Certains articles de ce dossier sont réservés aux abonnés. C’est le cas de celui-ci. »]
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