L’hiver est désormais derrière nous, laissant la place à des températures plus douces qui profitent à la végétation. Les primevères s’épanouissent, signe du renouveau du printemps. Le temps des gelées semble s’éloigner, la terre se réchauffe. Le seuil de 12 °C, optimum pour positionner une graine de maïs en terre, se rapproche. Cette graine contient dans son patrimoine génétique toutes les informations nécessaires pour produire un fourrage de qualité, et des épis bien formés.
Les végétaux ont la formidable faculté de transformer le rayonnement solaire en matière organique. Plus le maïs aura de feuilles, plus la surface de captage sera grande. Les variétés précoces possèdent moins de feuilles, c’est pourquoi la densité au semis devra être plus importante que ses cousins plus tardifs. Ce dossier réalisé en partenariat avec Arvalis reprend les aspects de protection, de désherbage ou de fumure organique qui donnent la voie à une récolte de qualité.
Au sommaire de ce dossier :
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- La Cuma sème en direct ou sur labour [su_tooltip style= »light » position= »north » title= »Réservé aux abonnés numériques » content= »Certains articles de ce dossier sont réservés aux abonnés. C’est le cas de celui-ci. »]
Réservé aux abonnés numériques
[/su_tooltip] - Quelles protections contre taupins et mouches ?
- Densité de semis : attention aux fausses économies
- Adapter le désherbage du maïs à la flore et intervenir tôt
- Herbicides : le point sur deux nouveautés 2017
- Fertilisation : valoriser fumiers et lisiers
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