Le paillage ou plutôt le repaillage est peut-être une possibilité pour réduire les usages d’antibiotiques en production de volaille. Certains éleveurs constatent une amélioration des performances techniques et du sanitaire grâce à des rajouts de matériaux plus réguliers. Une litière sèche est une garantie de confort pour les animaux qui ont tendance à prendre froid par les pattes ce qui les incite à se coucher et à consommer moins. Le paillage en cours de lot peut vite devenir une vraie corvée, surtout lorsqu’il faut le faire tous les 2 jours sur certaines périodes.
Depuis quelque temps, on voit fleurir sur le marché des machines qui permettent de mécaniser cette tâche. Avantage de cette offre élargie d’engins, il y en a aussi bien pour les éleveurs spécialisés avec plus de 4 000 m2 que pour les aviculteurs avec 1 000 m2. La gamme de prix s’étend de 30 000 € pour une remorque distributrice par air pulsé à moins de 9 000 € pour une petite pailleuse autopropulsée qui assure aussi le broyage. Le bien être de l’éleveur s’améliore alors en même temps que celui des animaux.
Au sommaire de ce dossier :
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- La gestion de la litière en volaille un sujet qui ne date pas d’hier
- Un distributeur automatique de litière dans le poulailler [su_tooltip style= »light » position= »north » title= »Réservé aux abonnés numériques » content= »Certains articles de ce dossier sont réservés aux abonnés. C’est le cas de celui-ci. »]
Réservé aux abonnés numériques
[/su_tooltip] - La pailleuse du poulailler rentabilisée en 2 lots sur 1000m2
- Avec la pailleuse à l’extérieur du poulailler, le sanitaire est préservé
- La pailleuse en Cuma fait des heureux [su_tooltip style= »light » position= »north » title= »Réservé aux abonnés numériques » content= »Certains articles de ce dossier sont réservés aux abonnés. C’est le cas de celui-ci. »]
Réservé aux abonnés numériques
[/su_tooltip] - Une paille finement broyée en bout de poulailler
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