Stéphane Travert, un ministre « de dialogue, de concertation et d’entente »

stephane-travert-ministre-agricuture - Illustration Stéphane Travert, un ministre « de dialogue, de concertation et d’entente »

Lors de la passation de pouvoirs entre Jacques Mézard, qui est resté 34 jours ministre de l’Agriculture, et Stéphane Travert, nommé ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, le 22 juin, Stéphane Travert a expliqué que son ministère sera « un ministère de dialogue, de concertation et d’entente ; je veillerai à ce que l’élaboration des politiques publiques soit partagées, comprises par le plus grand nombre ».

Il a insisté sur « les chantiers majeurs » qu’il a à mettre en œuvre, en particulier les Etats généraux de l’Alimentation « pour faire en sorte qu’enfin les producteurs puissent vivre du fruit de leur travail, que notre agriculture soit plus compétitive, innovante et que nos différents modèles agricoles ne viennent pas se confronter les uns avec les autres, mais soient en réelle harmonie »

La FNSEA demande que les chantiers soient poursuivis

Réagissant dans un communiqué le 21 juin à la nomination de Stéphane Travert au poste de ministre de l’Agriculture, la FNSEA demande de la continuité sur les deux premiers chantiers engagés par le précédent ministre Jacques Mézard : la simplification et les États généraux de l’agriculture qui doivent débuter en juillet. «Ce sont deux sujets majeurs pour nous, explique le syndicat, car l’un peut nous permettre de retrouver du revenu dans un meilleur partage de la valeur ajoutée, l’autre peut nous aider à faire mieux notre métier sans des contraintes administratives d’un autre âge». La FNSEA demande donc que «l’agenda tel qu’il a été défini doit être maintenu et les travaux engagés doivent être poursuivis».


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