Virus, vol, incendie, malveillance, erreur de manipulation, attaque… pour une entreprise, les dangers sont permanents mais avec une sauvegarde externalisée, on peut éviter de perdre des données sensibles. Le 27 juin dernier, une vague massive de cyberattaques a frappé simultanément des entités majeures partout dans le monde perturbant le fonctionnement des banques, des aéroports et des entreprises. Et, un mois plus tôt, le 12 mai très précisément, c’était le virus « wannacry » qui avait affecté des centaines de milliers d’ordinateurs dans le monde entier paralysant les services de santé britanniques ou encore des usines du constructeur automobile français Renault. Sécurisation des données Après chaque cyberattaque, ce sont des sites de production qui s’arrêtent et des ouvriers au chômage partiel, le temps de sécuriser tous les systèmes informatiques pour stopper le virus. Et selon SNIA France (la branche française de l’association internationale à but non lucratif qui a pour objectif d’assurer de façon indépendante la promotion du stockage auprès des acteurs du marché, clients et fournisseurs), 80 % des entreprises ayant connu une perte totale ou importante de leurs données disparaissent dans les deux années qui suivent. Alors pour éviter ces scénarios catastrophes, la sauvegarde externalisée (ou « backup » en anglais) est la solution la plus adaptée. Elle revient pour une entreprise à confier la gestion de la sauvegarde et de la sécurisation de ses données à un prestataire externe. Longtemps, la confidentialité des données hébergées à l’extérieur a pu paraître douteuse. Mais, désormais, cette période est révolue. Depuis plusieurs années, en effet, les solutions de sauvegarde externalisée certifient la protection des informations les plus confidentielles : hébergement en France et sur plusieurs sites, centres certifiés Iso270001, données cryptées et inutilisables, assurance contre la perte des données (avec indemnisation à hauteur de 3 millions d’euros). Du sur-mesure Les filiales…

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