Les cultures de maïs tirent leur épingle du jeu par rapport à d’autres espèces cultivées. La grande famille des céréales dispose aujourd’hui d’une large gamme de solutions assurant une protection optimale des végétaux. Sur le désherbage, des spécialités commerciales au mode d’action différent donnent de très bons résultats, à un coût modéré. Le producteur peut choisir entre des stratégies différentes, en alternant solutions chimiques foliaire ou racinaire, avec des persistances d’action longue.
Et le machinisme s’en mêle aussi : à l’implantation, les écartements entre rangs peuvent être modulés, afin de couvrir plus rapidement le sol et faire de l’ombre aux adventices. Les outils de désherbage sont aussi de plus en plus maîtrisés, houes et bineuses fleurissent çà et là.
L’ombre au tableau se situe du côté de la lutte contre les ravageurs, avec l’interdiction en septembre prochain du Sonido, seule solution réellement efficace contre les géomyzes et les oscinies après la levée. Le bio-contrôle sera sans doute une alternative, quand les coûts d’utilisation deviendront acceptables.
Au sommaire de ce dossier :
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- Inclure le mécanique dans sa stratégie de désherbage de maïs
- Un écartement réduit au semis pour gagner en polyvalence
- Herbicides : deux nouveautés en post-levée pour cette campagne [su_tooltip style= »light » position= »north » title= »Réservé aux abonnés numériques » content= »Certains articles de ce dossier sont réservés aux abonnés. C’est le cas de celui-ci. »]
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[/su_tooltip] - Désherbage : intervenir tôt est un gage de réussite
- Quelles solutions pour lutter contre les taupins et les mouches en début de cycle ? [su_tooltip style= »light » position= »north » title= »Réservé aux abonnés numériques » content= »Certains articles de ce dossier sont réservés aux abonnés. C’est le cas de celui-ci. »]
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[/su_tooltip] - Vigilance dans les rotations fourragères
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