Alors que le projet de loi « Egalim » pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et une alimentation saine et durable a été voté en première lecture le 31 mai à l’Assemblée nationale (plus de 77 heures de débat), Didier Le Gac, député finistérien, a souhaité échanger avec les acteurs de terrain sur les enjeux de ce texte, souvent évoqué comme « texte de la dernière chance ». Vendredi 8 juin, accompagné de Jean-Baptiste Moreau, agriculteur et député de la Creuse, rapporteur du projet de loi à l’Assemblée, il s’est déplacé dans trois exploitations : Gaec Hindré, à Plouzané, où les enjeux de l’agriculture, de l’agroalimentaire et des filières alimentaires de proximité, ainsi que l’accaparement des terres agricoles ont été évoqués ; SCEA d’Heol, à Saint-Renan, avec des échanges sur les enjeux liés à l’emploi, l’énergie et l’image de l’agriculture ; David Jestin, exploitation porcine à Bourg-Blanc, où ont été entre autres abordés les modes de production (conventionnel, bio…), les enjeux liés à l’installation ainsi qu’un zoom sur le numérique. Une réunion publique a réuni 120 personnes en soirée.
Échanges autour du « texte de la dernière chance »