L’Anses a publié le 30 mai son rapport final sur les risques et bénéfices des phytos à base de néonicotinoïdes et de leurs alternatives, montrant six cas pour lesquels « aucune alternative » n’existe. 130 usages autorisés des néonicotinoïdes ont été étudiés, indique-t-elle. « Pour une majorité des usages, des alternatives (chimiques et non chimiques), suffisamment efficaces et opérationnelles, ont pu être identifiées ». Dans 6 cas, « aucune alternative » répondant à ces critères n’a été identifiée, selon le rapport. Pour l’ensemble des cas étudiés, « il n’a pas été possible d’identifier des substances ou familles de substances chimiques qui présenteraient de façon globale un profil de risque moins défavorable que les néonicotinoïdes », ajoute l’Anses.
Néonicotinoïdes : six cas ne présentent « aucune alternative »