Dans un communiqué du 7 août, la Confédération paysanne accuse l’État de n’avoir « pas pris la mesure de l’intensité » de la sécheresse et « encore moins de son occurrence liée au réchauffement climatique ». Elle craint qu’en conséquence des fortes chaleurs, les agriculteurs ne subissent une fois de plus de « graves problèmes d’affouragement » et de « développement pour certaines productions végétales ». La Conf’ attend du gouvernement qu’il définisse à qui revient la prise en charge du « coût de la dérégulation climatique » et qu’il use « de toutes les possibilités que lui laisse l’Union européenne en matière de mesures structurelles, en particulier pour les financements des mesures environnementales et climatiques ».
Sécheresse : la Conf’ pointe « le laxisme » de l’État