Tous les amendements relatifs à l’étiquetage «environnemental» (alimentation OGM, mode d’élevage, origine des produits animaux, traitements phytos sur les fruits et légumes) des denrées alimentaires ont été rejetés, le 14 septembre à l‘Assemblée nationale. Stéphane Travert assure être «favorable à la transparence en matière d’étiquetage», mais indique que cela relève d’abord de la réglementation européenne. Difficile selon lui, dans un contexte de libre échange, de n’appliquer l’obligation qu’aux produits français. Il promet néanmoins de défendre le sujet devant Bruxelles: «Je suis prêt à répondre à cette attente des citoyens, mais dans un cadre européen, afin de répondre de manière concrète, efficace et rapide», confirme-t-il.
EGalim : pas de rétablissement de l’article sur l’étiquetage «environnemental»