Face aux « critiques par méconnaissance » entendues vis-à-vis des épandages en cours, la FDSEA 35, JA 35 et la Chambre d’agriculture appellent plutôt les citoyens à unir les efforts et compétences « pour permettre une souveraineté alimentaire accessible à chacun. » Et d’ajouter : « En ces temps troublés qui pourraient engendrer de la récession pour tous, les agriculteurs espèrent un sursaut collectif de prise de conscience quant à la production alimentaire bretonne et française, reconnue sécurisée et durable. »
« Pour assurer la pousse des végétaux et quel que soit le mode de production, il est nécessaire d’apporter de la nourriture aux plantes via le recyclage des fumiers ou lisiers excrétés par les animaux ou en ayant recours à de l’engrais d’origine minéral », rappellent les responsables. « Ces épandages sont fortement encadrés et se font avant tout en adéquation avec les besoins des plantes. Ils sont nécessaires pour une bonne fertilisation du sol et pour maintenir un niveau de production nous prévenant de toute pénurie. » La valorisation de ces déjections animales est pratiquée depuis toujours et aujourd’hui avec du matériel plus efficace : guidage GPS, enfouisseur, pendillards… « Ces nouvelles techniques permettent de limiter au maximum les émissions de particules fines. »
BRICARD
Bonjour à quelle distance des maisons un tracteur peut il épandre son fumier dans les champs et quelle quantité ?
Y a t il des dates à respecter pour ça ?