Les éleveurs qui témoignent dans ce dossier ont, pour la plupart, démarré la vente directe en commercialisant un à deux porcs par semaine. Certains d’entre eux sont, après quelques années d’expérience, à la tête de véritables entreprises de transformation et de vente, employant jusqu’à 50 salariés. La recherche de valeur ajoutée, la volonté d’entreprendre et le goût du contact les ont motivés dans leurs démarches. Aucun ne regrette d’avoir investi dans un laboratoire ou dans un magasin plutôt que dans l’agrandissement de leur élevage, souvent soumis à bien plus de contraintes administratives et environnementales. Dans ces pages également : un abatteur propose des solutions aux éleveurs pour faciliter la manutention des carcasses ; des qualiticiens évoquent la réglementation, notamment l’étiquetage, afin d’éviter de mauvaises surprises.
Au sommaire de ce dossier
- Maîtriser l’élevage et la découpe
- « Le magasin de producteurs est une force »
- Un raillage gagnant – gagnant
- L’histoire de « Mon cochon » a commencé en 2017
- Quelles mentions sur l’étiquette ?
- Une nouvelle activité avec un risque financier limité
- 50 salariés chez Ty Producteurs