Maxime Beccan va utiliser des doses de semence Fertimax pour la 2e année. Elles lui permettent de conserver des vaches ayant des problèmes de reproduction et ainsi d’augmenter la longévité sur l’élevage. Le Gaec de la Terrinière, à Chelun (35), conduit un troupeau de 120 Prim’Holstein. « J’insémine moi-même mais parfois, sur les génisses quand c’est trop compliqué, je demande au technicien inséminateur de venir réaliser l’IA. Il fait aussi les échographies. C’est lui qui m’a parlé des doses ultra fertiles développées par Innoval », témoigne Maxime Beccan. « Des vaches ont pu être conservées » « L’an passé, j’ai acheté 16 doses que j’ai utilisées sur des vaches intéressantes que je souhaitais conserver mais qui n’étaient toujours pas gestantes au bout de 4 IA voire plus. Généralement, j’utilise deux fois des doses de taureaux confirmés, puis un autre taureau en cas de retour en chaleur, puis un taureau limousin plus fertile (dans ce cas, la génisse croisée n’ira pas à la reproduction). Sur les 16 IA réalisées avec les doses ‘ultra fertiles’, 8 ont abouti à des gestations. Une des vaches, à 13 000 kg de production, était en 8e lactation. J’ai directement utilisé cette semence qui a fonctionné en 1re IA. Cette femelle va réaliser sa 9e lactation avec un intervalle vêlage – vêlage de moins de 400 jours. » Satisfait de pouvoir augmenter la longévité de ses vaches, l’éleveur a commandé à nouveau 16 doses cette année, « d’un taureau génomique. Une première sur l’élevage. » Elles seront à nouveau réservées aux vaches ayant déjà eu plusieurs IA. « Mon objectif est d’avoir un IVV de 380 jours ; je débute les IA à 50 jours après vêlage. Dans mes choix génétiques, je suis attentif à la fertilité, mais aussi aux pattes, mamelles et taux qui doivent être positifs », précise l’éleveur qui n’utilise pas de semence sexée. « J’ai besoin de 40…
Meilleure réussite à l’IA avec les doses « ultra fertiles »