Optimiser la reproduction en atelier laitier

12752.hr - Illustration Optimiser la reproduction en atelier laitier

La reproduction, un défi économique du quotidien

Il existe une relation étroite entre bonnes performances de reproduction et rentabilité de l’atelier laitier. Les observateurs estiment qu’il faudrait inséminer « plus » ou plus « tôt » pour ne pas laisser traîner les lactations quand l’efficience alimentaire se dégrade progressivement. Mais entre des troupeaux qui ont grandi et des vaches en moyenne plus productives exprimant moins ou moins longtemps leur chaleur, l’équation à résoudre par les éleveurs et leurs conseillers réclame toujours plus d’implication et d’attention. Alors qu’on estime aujourd’hui qu’un éleveur impliqué repère une chaleur sur deux par l’observation à l’œil nu, les spécialistes martèlent qu’investir davantage de temps ou de parier sur les outils technologiques pour la surveillance est rentable. Ils insistent également sur l’importance de la transition « trois semaines avant – trois semaines après vêlage » : l’objectif est de préparer au mieux la vache à ingérer et démarrer sa lactation sans que la période de déficit énergétique ne grève la réussite de la mise à la reproduction. Entre conseils, repères et erreurs à éviter, dans ce dossier, Paysan Breton donne la parole aux vétérinaires et aux consultants sur un sujet du quotidien dans toutes les fermes.

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