L’agriculture se fait attendre

Un tracteur au travail dans un champ - Illustration L’agriculture se fait attendre
L’amont agricole pèse pour 82,9 % des émissions 
de GES chez les industries bretonnes.

L’industrie agroalimentaire bretonne est mobilisée pour la décarbonation de ses activités, qui se poursuivra seulement si les entreprises sont compétitives et collaborent avec l’ensemble des parties prenantes, notamment l’amont agricole. Telle est la conclusion d’une étude menée entre juin et décembre 2024 par l’Association bretonne des entreprises agroalimentaires (Abea) portant sur 173 sites. Selon cette étude, 81% des entreprises sondées identifient la décarbonation comme une priorité stratégique. « L’enjeu incontournable est aujourd’hui celui du travail avec l’amont agricole » pour la décarbonation en raison du poids des matières premières agricoles en termes d’émissions (82,9 % des émissions de gaz à effet de serre chez les industries agroalimentaires bretonnes). Les auteurs de l’étude identifient d’autres leviers à mettre en place comme les achats locaux, la sobriété énergétique, les énergies renouvelable, la logistique, etc….

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