octobre 2018

La Cuma d’Yffiniac utilise cet outil pour le semis direct des céréales et des couverts. Celui-ci est aussi adapté au sursemis de prairie.

Les éleveurs Patrick et Philippe Chardel testent le sursemis pour obtenir des prairies de meilleure qualité alimentaire sur les zones difficiles de leur exploitation. Au Gaec des Portes Cargouët à Bréhand, sur une SAU de 90 ha, 40 ha sont relativement compliqués à exploiter. « Ces parcelles sont longées par…

Mickaël Gergaud, Christelle Martin (associés à Sophie Ducastel, absente sur la photo) et François-Xavier Babin, animateur Segrafo Ouest.

Le Gaec de Kerbisien, à Noyal-Muzillac, produit près de 600 000 litres de lait bio. Le fourrage récolté est séché pour assurer une production quotidienne de 20 litres en moyenne par vache. À leur installation en 2016, les trois associés du Gaec de Kerbisien n'ont pas vraiment eu le choix.…

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Le maïs est une culture sensible à la compaction des sols. Les études ont montré que l’on peut enregistrer une baisse de rendement variant de 10-30 %. Ce pourcentage augmentera avec le temps si les mêmes pratiques culturales ayant causé la compaction sont maintenues. Un décompactage d’automne, voire de printemps…

La dameuse venant des Vosges évolue maintenant dans les parcelles de céréales des Côtes d’Armor.

Éric Guillou, un entrepreneur de travaux agricoles costarmoricain, a investi l’hiver dernier dans une dameuse pour y installer son épandeur à engrais. L’engin lui permet de fertiliser les parcelles humides sans laisser de traces. Depuis plusieurs années, Éric Guillou, entrepreneur de travaux agricoles basé à Plouézec (22), envisageait d’investir dans…

Le distributeur d’engrais Sulky X 50+ Econov module la nappe en longueur comme en largeur.

Jean-Michel Labbé utilise un distributeur d’engrais qui module la nappe en longueur comme en largeur. Les épandages sont dictés par des cartes de préconisation établies grâce à des analyses de sol et des images satellite. Installé depuis 1997 sur la commune de Plélan-le-Petit (22), Jean-Michel Labbé gère une SAU de…

Louis-Marie Léopold, agronome à la Chambre d'agriculture.

Près de 25 % des surfaces bretonnes de colza, d'orge et de blé sont suivies par des outils d'aide à la décision. Parmi ceux-ci, les drones, équipés de capteurs, tirent leur épingle du jeu. « Nous passons d'une approche prévisionnelle à une approche dynamique ». Louis-Marie Léopold, agronome à la Chambre d'agriculture,…

L’orientation de la nappe est corrigée en permanence en fonction des variations des conditions d’application.

L’ETA Flého bénéficie d’un épandeur à engrais en prêt pour une durée d’un an. L’occasion pour l’entrepreneur de tester les dernières évolutions en matière d’épandage de précision et de proposer ce nouveau service à ses clients. [caption id="attachment_37240" align="alignright" width="142"] Rodolphe Flého, Gérant ETA Flého[/caption] Rodolphe Flého entrepreneur de travaux agricoles…

Les pales de l’épandeur doivent être à 90 cm du sol. L’outil doit aussi être parfaitement horizontal.

Le réglage de matériel d’épandage n’est possible que si l’engrais est de qualité et est homogène. Les derniers épandeurs d’engrais offrent une simplicité d’utilisation remarquable. La technologie calcule, pèse et modifie les réglages, et ce, de façon autonome. A la Cuma du Porzay, coopérative située à Plonévez-Porzay (29), l’épandeur Sulky…

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La qualité des engrais a une grosse incidence sur la régularité de l’épandage et par conséquent sur les rendements et la régularité des cultures. De nos jours les agriculteurs cherchent à épandre de l’engrais sur une largeur la plus grande possible afin de gagner du temps et aussi pour impacter…

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Au quotidien, on entend parfois : « j’ai semé du ray-grass » ou « j’ai ensilé mon ray-grass » ou bien encore « je mets quoi comme ray-grass ? » Il semble opportun, dans le contexte économique et environnemental actuel, de faire le point sur le terme « ray-grass » qui concerne en fait trois espèces bien distinctes et qui…

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La morphologie idéale de la végétation d’une prairie pour optimiser la productivité est d’avoir une flore gazonnante, c'est-à-dire d’une même hauteur et dense, avec un maximum de talles par mètre carré. A l’inverse de « gazonnant », on a un couvert cespiteux, c'est-à-dire en touffes. Dès lors qu’une graminée se présente en…

Météo

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Votre météo sur le réseau Paysan breton

Retrouvez les plannings d’enrubannage ou les traitements phytosanitaires, les degrés-jours de croissance, le stress termique sur les bovins, …

Quentin Chartier, Yannick Binard, Pascal Belot, Georges Chartier et André Soquet posent devant l’ensileuse de leur Cuma resserée.

Les éleveurs Patrick et Philippe Chardel testent le sursemis pour obtenir des prairies de meilleure qualité alimentaire sur les zones difficiles de leur exploitation. Au Gaec des Portes Cargouët à Bréhand, sur une SAU de 90 ha, 40 ha sont relativement compliqués à exploiter. « Ces parcelles sont longées par…

Destruction mécanique d’un couvert de féverole.

Rencontre avec 2 producteurs bio qui ont choisi de limiter le travail du sol et qui ont témoigné lors du Salon La Terre est notre Métier, à Retiers (35). Passer exclusivement en semis direct tout en conservant un système de production biologique semble être difficile à concilier. L’agriculture de conservation…

Les altises d’hiver perforent et dévorent les cotylédons et premières feuilles du colza. L’apparition de la 4e feuille marque la fin de la période de sensibilité.

La dernière campagne a confirmé des cas de résistance de la grosse altise aux pyréthrinoïdes. Un semis tardif ou des précipitations insuffisantes pour assurer la levée n’ont pas permis au colza d’atteindre l’objectif 4 feuilles dans toutes les parcelles avant l’arrivée des grosses altises. Alors que faire ? Toute décision…

Galeries et larves visibles dans des résidus de maïs fourrage dans une parcelle fin septembre 2018.

Les dégâts causés par la pyrale sont en progression en Bretagne. Les cultures de maïs fourrage, jusqu’ici peu concernées, présentent des niveaux d’attaques élevés. Pour limiter l’extension de ce ravageur, le premier levier à mettre en œuvre est agronomique. Une bonne gestion des résidus de culture par un broyage fin…

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En Bretagne, les chantiers d’ensilage sont bien avancés. Vient l’heure de soulever la bâche… et de vérifier la qualité. Mais qui mieux que les vaches donneront leur verdict ? Avec l’hétérogénéité des maïs 2018, et malgré l’apparence prometteuse de certaines récoltes, on entendra encore que certains maïs « ne font…

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L’achat de fruits des ménages pour leur consommation à domicile s’est élevé à 4,8 tonnes pour 100 ménages sur les sept premiers mois de l’année (janvier-juillet) soit une baisse de 2% par rapport à 2017 et de 3 % par rapport à la moyenne 2015/17, détaille FranceAgriMer dans une note…

« La majorité des maïs ont faim avant d’avoir soif car on travaille avec de la matière organique : fumier, lisier. »

Quand l’agronomie, la science et le bon sens paysan se rencontrent, les idées germent et les projets fructifient. Voyage dans les champs, les pieds dans les bottes et la tête dans les étoiles, avec les « Savanturiers » du XXIe siècle. D’un côté les pessimistes. Tous ceux qui pensent que…

De g. à dr. : Claire, apprentie sur la ferme, Mathieu et Soizic Le Fustec, éleveurs à Plouaret (22).

Au Gaec de Langren, en fauchant tôt, en réduisant la taille du troupeau et en faisant du stock sur pied pour allonger le cycle de pâturage, les éleveurs ont pu faire face à l’été sec. En cette fin septembre, les vaches de Mathieu et Soizic Le Fustec, à Plouaret (22),…

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L’effet du chaulage sur le développement du pietin échafaudage est un facteur de risque bien identifié. En effet, de nombreuses études bibliographiques ont mis en évidence l’incidence de l’augmentation du pH sur le développement du piétin échafaudage. Cet effet a été confirmé lors d’essais récents réalisés par Arvalis dans l’Ouest,…

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Le nombre d’espèces de graminées et de légumineuses est important sur le marché, et bien plus encore le nombre de variétés. Pour optimiser cette ressource disponible, il est indispensable de bien raisonner leur choix, que l’on veuille utiliser une espèce pure, une association ou un mélange. Choisir des plantes qui…

Sur le long terme, le groupe PHW, auquel appartient Wiesenhof, souhaite remplacer l’utilisation du fourrage de soja par d’autres alternatives. L’entreprise participe financièrement à Enterra Feed Corporation, une société qui élabore de l’alimentation animale à base de larves de mouche soldat noir. Ainsi, l’utilisation de soja dans l’alimentation pour le…

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Produire des protéines locales coûte plus cher que d'importer du soja génétiquement modifié. Le citoyen en réclame ; le consommateur acceptera-t-il de mettre le prix ? Rien n'est moins sûr. Le colza et le tournesol représentent la première source de protéines en France, avec 3,5 millions de tonnes de tourteaux, loin devant…

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