Un démarrage à base d’embryons argentins et américains
Thierry et Corinne Kerneis apprécient dans la race Aberdeen Angus « sa rusticité, le gène sans cornes et sa faculté à faire des petits veaux, facilitant les vêlages. Les effectifs sont autant présents en hémisphère Nord que Sud, la race a une forte capacité à s’adapter », énumèrent-ils, lors d’une porte ouverte…