Une moissonneuse dans un champ de céréales

À l’heure où la France, malgré une petite récolte, peine à exporter ses blés (7 %(1) des ventes mondiales), alors même que ce poste représente 50 % de nos débouchés, il est intéressant de se poser la question d’une trop forte dépendance au marché mondial. Et ce d’autant plus que…

Carte mondiale sur un globe posée sur des épis de blés.

L’ établissement des bilans se heurte de plus en plus à des zones d’ombre qui ne cessent de s’élargir. C’est le cas sur le stockage mais aussi sur les flux de marchandises. La progression du stockage à la ferme, dans de nombreux pays, rend la perception de l’offre plus difficile…

Moissonneuse dans un champ

Lorsque l’on cherche à analyser les marchés, il faut d’abord bien comprendre où se situe l’offre. Celle-ci est la somme de la production (collectée et/ou autoconsommée) et des stocks de report en début de campagne. Ces derniers sont détenus soit par les opérateurs économiques (OS[1], industriels utilisateurs), soit par les…

20175.hr

En début d’année, nous expliquions que les fondamentaux du marché du tourteau de soja étaient baissiers sur le moyen terme, mais que le dossier argentin serait la clé de l’évolution des prix à partir d’avril. Les 6 de mai[1] 2024 valaient alors moins de 410 €/t, soit 65 €/t de moins que…

19465.hr light

L’Afrique du Nord est la plus grande zone importatrice de blé et pour la troisième année consécutive subit une sécheresse qui devrait entraîner une hausse des besoins à l’importation de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie en 2024/2025.  Cette saison, les importations de cette région du monde ont déjà…

19355.hr

Début mars, le blé sur Euronext est furtivement passé sous la zone des 190 €/t sur l’échéance mai 2024. Si on prend du recul, le prix moyen de campagne n’est cependant pas à des niveaux historiquement bas. Sur la campagne 2023/2024, il s’affiche actuellement à 217 €/t contre 295 €/t et 305 €/t les deux…

18400.hr

À Chicago, les prix du blé (SRW) se sont envolés en 2022 pour revenir aujourd’hui au niveau de 2020, alors que le riz est sur une pente ascendante qui ne se dément pas depuis 2021. Après avoir touché les 213 €/t sur le marché à terme parisien fin novembre, le prix…

18091.hr

Les USA voient leurs parts de marché régulièrement reculer sur le marché mondial, que ce soit en blé, en maïs ou en soja(1). D’une part, la hausse des rendements n’est plus suffisante pour répondre à la forte demande internationale. D’autre part, les difficultés logistiques deviennent récurrentes. Dénominateur commun : l’eau ! Perte…

17870.hr

La montée en puissance de la Chine dans le marché international du blé a fait de ce pays le premier importateur de la céréale en 2022/2023 (13,6 Mt selon l’IGC(1)), devant la Turquie (13 Mt), et l’Égypte (12,9 Mt). L’approvisionnement de l’empire du Milieu chez son allié russe est un positionnement stratégique,…

17262.hr

Le Brésil est au maïs et au soja, ce que la Russie est au blé : un bulldozer que rien ne semble arrêter. En l’espace de 10 ans, ce pays-continent a raflé la première place en termes d’exportation de la céréale fourragère et de l’oléagineux. Mais il est aussi un de…

16330.hr

Le blé sur le Matif vaut en moyenne 242 €/t sur les échéances 2023/2024(295 €/t en 2022/2023). Face au recul régulier des cotations depuis novembre 2022, certains utilisateurs se prennent à espérer retoucher le niveau moyen 2020/2021 (209 €/t). Minute, papillon !    Une consommation stable à plus élevée Le disponible exportable des principaux vendeurs…

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