Blonde d'aquitaine dans un champ

Alors que la contractualisation en filière bovine est une obligation légale, elle est dans les faits très peu mise en œuvre par les agriculteurs et leurs partenaires. William Pellerin, éleveur à la Chapelle-Caro (56), contractualise une partie de ses ventes avec un boucher. « Cela représente 60 femelles par an…

Lors d'une rencontre autour du lin

Alors qu’une loi européenne va augmenter les droits de douane sur les oléagineux en provenance de Russie et Biélorussie, la question de la souveraineté alimentaire reste un enjeu.Un tunnel de prixDepuis 25 ans, l’entreprise Valorex organise sa filière lin oléagineux via des partenariats représentant aujourd’hui environ 80 % de la…

18369.hr

Parallèlement, le paysage agricole évolue sous l’effet conjugué de l’érosion croissante des actifs agricoles et de l’arrivée de jeunes agriculteurs aux aspirations souvent très différentes de la génération précédente. Dans ce contexte à la fois inédit et incertain, structurer sa stratégie d’exploitation devient plus que jamais une nécessité. Économiser Le…

17854.hr

La réduction du cheptel bovin allaitant continue de sévir. Il s’érode encore de 3 % en 2023 et, collectivement, la filière bovine doit essayer d’enrayer cette tendance profonde pour la pérennité des filières avec comme objectif : un revenu décent aux éleveurs.  Espoir ou utopie, la contractualisation du cheptel mère ?  Quand Eureden…

17796.hr

La réduction du cheptel bovin allaitant se poursuit de 3 % en 2023. « Animée par une approche globale nécessitant une solidarité de la filière, la position d’Eureden est sans appel : il nous faut contractualiser les femelles pour freiner la décapitalisation », a déclaré le président Louis-François Leconte, lors de l’assemblée générale de…

17324.hr

À l’état brut, le produit agricole dans l’assiette représente 2 % du budget d’un ménage. Acheté en magasin après transformation et un peu de marketing et d’emballage, l’alimentation représente 15-16 % du budget d’une famille. Cela reste encore modeste au regard des 30 % de son revenu que consacrait le Français pour se nourrir…

contrat

La contractualisation, bouclier protecteur des agriculteurs face à la volatilité des prix. Si c’était si simple, cela se saurait. Parlez contractualisation aux agriculteurs bretons, ils entendront intégration. C’est peut-être aussi un peu pour cette raison que la Chambre d’agriculture de Bretagne qui, mardi à Plérin (22), a présenté son étude…

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