17327.hr

L’activité générée par les 20 associations de remplacement fédérées au sein de SR 35 est en baisse de 8 % sur 2022 par rapport à l’année précédente, totalisant 167 743 heures au total. « Un chiffre qui peut être dû à moins d’accidents sur les exploitations nous l’espérons mais qui est aussi lié à…

17248.hr

Même si les charges (énergie, alimentation, services, mécanisation…) ont explosé sur les exploitations, en moyenne de 20 %, « l’année écoulée a été meilleure pour les agriculteurs », a constaté Cédric Henry, président de la FDSEA 35, à l’occasion d’une conférence de presse le 4 septembre à Rennes. Mais cette 'embellie' ne…

16808.hr

Pour les chantiers saisonniers notamment, le recours à la main d’œuvre étrangère est fréquente en Bretagne.Selon que le futur salarié réside en France (ou pas), qu’il est ressortissant communautaire ou bien assimilé, la procédure de recrutement sera différente. S’il est ressortissant communautaire, point besoin d’autorisation de travail, le principe de…

16496.hr

« Le plus important pour l’attractivité et la fidélisation des salariés en élevage porcin, ce sont les relations humaines », cadre Caroline Depoudent, chargée d’études travail dans l’équipe porc à la Chambre d’agriculture de Bretagne. Ce premier constat ressort d’une étude menée sur trois ans, baptisée « Impact des conditions de travail…

16501.hr

Vous accompagnez les éleveurs sur les questions des ressources humaines. À partir de quand considérer qu’il y a « un sujet managérial » sur un élevage ? Les exploitations grandissent et comptent de plus en plus de collaborateurs. Elles sont passées d’un cadre familial à un modèle de petite entreprise. Avec un…

dilepix

Après une carrière de militaire achevée à Vannes, Jérôme Frohlich a effectué un stage de découverte des métiers de l’élevage de 3 mois, pris en charge par l’ANPE et organisé par la Chambre d’agriculture. « On m’a proposé d’aller en élevage de porcs, à Limerzel (56). J’y suis allé à reculons,…

16475.hr

La première présidente de Finistère Remplacement Christiane Philipot se souvient que « tout a commencé par les mutuelles coups durs, qui étaient là en cas d’accident, de maladie ou de décès. Il y avait un référent par quartier ». Ce référent, aussi agriculteur, « avait déjà de quoi faire chez lui », a-t-elle souligné…

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